jeudi 8 août 2013
De retour 2013.
vendredi 27 mars 2009
Les nouveaux guerriers
Le Terre est aujourd’hui malade de l’inconscience des hommes, ses hôtes privilégiés. Doivent impérativement surgir du brouillard des porteurs de lumières et de solutions, prêts à se battre pour la sauver. Mais comment peut-on avoir la moindre velléité d’action sur le monde, si l’on n’est pas parvenu à se maîtriser, et comment peut-on se discipliner si on ne se connaît pas réellement ? Socrate, sage de la Grèce antique mère de notre civilisation européenne, n’a-t-il pas dit en son temps : « Connais-toi toi-même et tu connaîtras les dieux ». Nul ne peut se soustraire à ce préalable.
Alors comment mener de front une quête contemplative axée sur la méditation et une voie d’action déployée à travers différents projets politiques sociaux ? C’est le problème de certains d’entre nous. Comment bien vivre ce moment où l’appel à l’intériorité nous ferait tout quitter séance tenante, et celui qui consiste à foncer et à agir de toutes ses forces ? Ainsi, être un guerrier spirituel, c’est en même temps se consacrer à une quête et exceller dans la conquête.
Notre terre, ou plus exactement la Biosphère, a besoin de guerriers du troisième millénaire pour la défendre de l'inconscience de la masse, mais des guerriers tempérés par la sensibilité, la patience, l'éthique, et l'ouverture de coeur. En effet, un certain nombre de qualités participent à la nature essentielle du guerrier spirituel : l'équilibre personnel, le courage, l'engagement, la discipline, l'impeccabilité, le pouvoir personnel et la dévotion.
L’EQUILIBRE PERSONNEL
Le guerrier a besoin d’un esprit sain dans un corps sain et fort pour être au service de sa Mission. Notre société matérialiste à privilégiée la forme, le corporel, aussi c’est à l’individu lui-même de travailler à la maîtrise de son mental par la connaissance et la pratique de deux exercices complémentaires : la méditation et la concentration. Il doit aussi savoir écouter la voix de son cœur parce que c’est de là que part sa motivation et, si en chemin il s’égarait, il saurait s’y recentrer.
LE COURAGE
La voie du guerrier n’est pas une voie d’infaillibilité, mais au contraire une voie d’extrême vulnérabilité, de sensibilité au présent, au monde, à la vie. Aller de l’avant, agir pour amener des transformations positives dans les systèmes politiques et sociaux demande du courage, comme pour accepter que nous pouvons et devons nous-même conduire le monde vers un degré plus élevé d’ordre et d’harmonie. La vraie bravoure est le fruit de la sensibilité qui distingue le guerrier de l’homme ordinaire. L’authentique guerrier prend complètement en charge ce qui se présente à lui et voit tout comme un défi, comme une opportunité de se dépasser, alors que la personne ordinaire voit tout ce qui lui arrive comme une chance ou une malédiction.
La nature du courage se fonde sur trois attitudes de base :
La franchise : Elle permet d’aller droit devant soi, sans masque, droit au but sans avoir à se soucier du regard et de la crainte des autres. Ainsi, on peut même aller jusqu’à avouer ses faiblesses quand on sait que globalement on peut rester « Maître du Jeu et du Je… ». Mais il faut disposer alors du discernement nécessaire pour savoir à qui on peut réserver de telles confidences.
L’audace : C’est pour le guerrier spirituel relativiser ses appréhensions en observant simultanément le monde de l’inconnu qui peut être le danger, et lui-même qu’il doit connaître. Il peut alors aller là où personne avant lui ne s’était aventuré.
L’ENGAGEMENT
On s’engage d’autant mieux que l’on a clairement identifié son but et que l’on connaît ses capacités. Quand le guerrier spirituel a reconnu sa voie, sa vie n’a plus de sens s’il ne l’emprunte pas ou s’il la quitte. Sur son sentier escarpé et non balisé, loin des autoroutes du conformisme, il accepte de vivre intensément comme s’il risquait de mourir à l’issue de chacune de ses étapes, à chacun de ses propres dépassements.
LA DISCIPLINE
Contrairement à l’avis du commun des mortels qui ne voit en elle que limitation et contrainte, la discipline est une liberté. La vraie discipline est évidemment l’autodiscipline qui nous permet d’organiser notre parcours pour mieux profiter du voyage. Pour le guerrier spirituel la discipline est une pratique constante, et la pratique ultime est la discipline de l’harmonie qui conduit au bonheur.
L'IMPECCABILITE
Etre un guerrier, c’est viser l’excellence et accomplir sa tâche avec un haut degré d’efficacité et d’intégrité. Parce qu’il prend souvent des risques, le guerrier sait qu’il peut faire des erreurs mais ne confond pas l’impeccabilité avec le perfectionnisme qui n’est qu’une manie. L’impeccabilité c’est toujours donner le meilleur de soi, peu importe ce que l’on fait. Ainsi même quand on n’aime pas ce que l’on fait, ne doit-on pas aimer la façon dont on le fait ?
LE POUVOIR PERSONNEL
Le pouvoir vient du vouloir qui dépend du savoir. Ainsi je sais que la situation de la Planète est catastrophique, si je veux participer à son sauvetage, ai-je le pouvoir de faire réellement quelque chose?
Celui qui n’a rien ne peut rien donner, ne peut rien transmettre. Mais attention ce pouvoir ne trouvera sa raison d’être que par le don qui est la seule façon de se placer harmonieusement sur la voie du guerrier spirituel.
Cinq clés donnent accès au pouvoir personnel.
La responsabilité : Cessons de blâmer les évènements extérieurs, de critiquer les autres, de subir, arrêtons de jouer les victimes. Il s’agit d’abord d’être responsable de la création de notre vie et d’assumer nos actions.
L’estime de soi : Le guerrier a pleinement confiance en lui-même et en sa capacité de répondre correctement aux situations de sa vie, il connaît son « centre de gravité » gage de son action équilibrée.
La positivité : Parce qu’il a foi en lui, le guerrier a une attitude d’esprit positive qui lui permet d’espérer et de mettre toutes ses chances pour réussir un projet.
La conscience de ce qu’on est : Le guerrier spirituel a le sentiment d’appartenir à quelque chose de plus grand que son individualité et il est convaincu que l’Univers, ou Dieu, est avec lui. Par exemple s’il milite pour la paix dans le monde, il doit avoir fait la paix avec lui-même. S’il veut aider les autres à régler leurs conflits, il doit savoir régir harmonieusement ses propres relations personnelles.
La capacité d’adaptation : Il n’y a qu’une chose stable dans la vie, c’est le changement et qui sait composer avec lui maîtrise son pouvoir personnel. Mais peut-on construire le présent autrement qu’à partir des principes immuables et intemporels ?
LA DEVOTION
Au sens traditionnel, le guerrier a toujours défendu une cause plus grande que lui-même, un territoire, un prince, une religion, une cause. Servir est un élément clé de son action. A notre époque, le guerrier spirituel est celui qui combat pour apporter sa contribution au sauvetage de la Planète.
Mysterious Man : Dans l’esprit de Crazy Horse, d’après le texte de Michel Bogé février2009
Alors comment mener de front une quête contemplative axée sur la méditation et une voie d’action déployée à travers différents projets politiques sociaux ? C’est le problème de certains d’entre nous. Comment bien vivre ce moment où l’appel à l’intériorité nous ferait tout quitter séance tenante, et celui qui consiste à foncer et à agir de toutes ses forces ? Ainsi, être un guerrier spirituel, c’est en même temps se consacrer à une quête et exceller dans la conquête.
Notre terre, ou plus exactement la Biosphère, a besoin de guerriers du troisième millénaire pour la défendre de l'inconscience de la masse, mais des guerriers tempérés par la sensibilité, la patience, l'éthique, et l'ouverture de coeur. En effet, un certain nombre de qualités participent à la nature essentielle du guerrier spirituel : l'équilibre personnel, le courage, l'engagement, la discipline, l'impeccabilité, le pouvoir personnel et la dévotion.
L’EQUILIBRE PERSONNEL
Le guerrier a besoin d’un esprit sain dans un corps sain et fort pour être au service de sa Mission. Notre société matérialiste à privilégiée la forme, le corporel, aussi c’est à l’individu lui-même de travailler à la maîtrise de son mental par la connaissance et la pratique de deux exercices complémentaires : la méditation et la concentration. Il doit aussi savoir écouter la voix de son cœur parce que c’est de là que part sa motivation et, si en chemin il s’égarait, il saurait s’y recentrer.
LE COURAGE
La voie du guerrier n’est pas une voie d’infaillibilité, mais au contraire une voie d’extrême vulnérabilité, de sensibilité au présent, au monde, à la vie. Aller de l’avant, agir pour amener des transformations positives dans les systèmes politiques et sociaux demande du courage, comme pour accepter que nous pouvons et devons nous-même conduire le monde vers un degré plus élevé d’ordre et d’harmonie. La vraie bravoure est le fruit de la sensibilité qui distingue le guerrier de l’homme ordinaire. L’authentique guerrier prend complètement en charge ce qui se présente à lui et voit tout comme un défi, comme une opportunité de se dépasser, alors que la personne ordinaire voit tout ce qui lui arrive comme une chance ou une malédiction.
La nature du courage se fonde sur trois attitudes de base :
La franchise : Elle permet d’aller droit devant soi, sans masque, droit au but sans avoir à se soucier du regard et de la crainte des autres. Ainsi, on peut même aller jusqu’à avouer ses faiblesses quand on sait que globalement on peut rester « Maître du Jeu et du Je… ». Mais il faut disposer alors du discernement nécessaire pour savoir à qui on peut réserver de telles confidences.
L’audace : C’est pour le guerrier spirituel relativiser ses appréhensions en observant simultanément le monde de l’inconnu qui peut être le danger, et lui-même qu’il doit connaître. Il peut alors aller là où personne avant lui ne s’était aventuré.
L’ENGAGEMENT
On s’engage d’autant mieux que l’on a clairement identifié son but et que l’on connaît ses capacités. Quand le guerrier spirituel a reconnu sa voie, sa vie n’a plus de sens s’il ne l’emprunte pas ou s’il la quitte. Sur son sentier escarpé et non balisé, loin des autoroutes du conformisme, il accepte de vivre intensément comme s’il risquait de mourir à l’issue de chacune de ses étapes, à chacun de ses propres dépassements.
LA DISCIPLINE
Contrairement à l’avis du commun des mortels qui ne voit en elle que limitation et contrainte, la discipline est une liberté. La vraie discipline est évidemment l’autodiscipline qui nous permet d’organiser notre parcours pour mieux profiter du voyage. Pour le guerrier spirituel la discipline est une pratique constante, et la pratique ultime est la discipline de l’harmonie qui conduit au bonheur.
L'IMPECCABILITE
Etre un guerrier, c’est viser l’excellence et accomplir sa tâche avec un haut degré d’efficacité et d’intégrité. Parce qu’il prend souvent des risques, le guerrier sait qu’il peut faire des erreurs mais ne confond pas l’impeccabilité avec le perfectionnisme qui n’est qu’une manie. L’impeccabilité c’est toujours donner le meilleur de soi, peu importe ce que l’on fait. Ainsi même quand on n’aime pas ce que l’on fait, ne doit-on pas aimer la façon dont on le fait ?
LE POUVOIR PERSONNEL
Le pouvoir vient du vouloir qui dépend du savoir. Ainsi je sais que la situation de la Planète est catastrophique, si je veux participer à son sauvetage, ai-je le pouvoir de faire réellement quelque chose?
Celui qui n’a rien ne peut rien donner, ne peut rien transmettre. Mais attention ce pouvoir ne trouvera sa raison d’être que par le don qui est la seule façon de se placer harmonieusement sur la voie du guerrier spirituel.
Cinq clés donnent accès au pouvoir personnel.
La responsabilité : Cessons de blâmer les évènements extérieurs, de critiquer les autres, de subir, arrêtons de jouer les victimes. Il s’agit d’abord d’être responsable de la création de notre vie et d’assumer nos actions.
L’estime de soi : Le guerrier a pleinement confiance en lui-même et en sa capacité de répondre correctement aux situations de sa vie, il connaît son « centre de gravité » gage de son action équilibrée.
La positivité : Parce qu’il a foi en lui, le guerrier a une attitude d’esprit positive qui lui permet d’espérer et de mettre toutes ses chances pour réussir un projet.
La conscience de ce qu’on est : Le guerrier spirituel a le sentiment d’appartenir à quelque chose de plus grand que son individualité et il est convaincu que l’Univers, ou Dieu, est avec lui. Par exemple s’il milite pour la paix dans le monde, il doit avoir fait la paix avec lui-même. S’il veut aider les autres à régler leurs conflits, il doit savoir régir harmonieusement ses propres relations personnelles.
La capacité d’adaptation : Il n’y a qu’une chose stable dans la vie, c’est le changement et qui sait composer avec lui maîtrise son pouvoir personnel. Mais peut-on construire le présent autrement qu’à partir des principes immuables et intemporels ?
LA DEVOTION
Au sens traditionnel, le guerrier a toujours défendu une cause plus grande que lui-même, un territoire, un prince, une religion, une cause. Servir est un élément clé de son action. A notre époque, le guerrier spirituel est celui qui combat pour apporter sa contribution au sauvetage de la Planète.
Mysterious Man : Dans l’esprit de Crazy Horse, d’après le texte de Michel Bogé février2009
mercredi 28 janvier 2009
Un Chant pour la terre
Visitez Youtube vous découvrirez, notre titre, Chant pour la terre et notre groupe Maka Oyaté, le peuple de la terre.
Une plume d'aigle.
lundi, janvier 26, 2009
 | Barak Obama Crow
Un homme vient de recevoir une plume sacrée de la nation Crow et a ainsi obtenusa première plume d'Aigle,il a par là-même été adopté par cette même nation et vient d'obtenir son nom Amérindien.Barak Hussein Obama est désormais membre de la nation Crow. Son nom en français" Celui qui aide ceux de son territoire".Nom donné par la nation Crow : Barak Hussein Black Eagle ObamaNous Le Peuple de la Terre comptons parmi nous un nouveau frère.Que le Grand Mystère le guide.Peace!Mitakuye oyasin |
mardi 13 janvier 2009
Heureuse année à toutes et à tous
Bien que je ne puisse, toujours tenir à jour ce blog, pour défaut de visites , je souhaite à toutes et à tous, mes meilleurs voeux pour cette nouvelles années, qui commence malgré tout dans une certaine tourmente.
Des évènements comme ceux en cours en Palestine sont inacceptable, le genre humain demeure dans ce qui pourrait être défini comme étant une pouponnière en laissant le doute définitif sur ce que l'homme à son état de bébé, peut déployer de cupidité, de stupidité pour ne pas arriver depuis toutes ces années à déployer suffisamment de maturité pour arrêter de tels massacres.
D'aucun des personnages des sois-disant pouvoirs, n'aurait un tant soit peu d'humanité pour prendre à bras le corps, leurs responsabilités d'humain, intercéder intelligemment à l'arrêt des violences affligés aux humains des deux camps.
Cette histoire semble ressembler de très près à celle vécu, par nos amis natives d'Amérique du Nord.
La Palestine doit-elle devenir comme en Amérique une réserve?
Des évènements comme ceux en cours en Palestine sont inacceptable, le genre humain demeure dans ce qui pourrait être défini comme étant une pouponnière en laissant le doute définitif sur ce que l'homme à son état de bébé, peut déployer de cupidité, de stupidité pour ne pas arriver depuis toutes ces années à déployer suffisamment de maturité pour arrêter de tels massacres.
D'aucun des personnages des sois-disant pouvoirs, n'aurait un tant soit peu d'humanité pour prendre à bras le corps, leurs responsabilités d'humain, intercéder intelligemment à l'arrêt des violences affligés aux humains des deux camps.
Cette histoire semble ressembler de très près à celle vécu, par nos amis natives d'Amérique du Nord.
La Palestine doit-elle devenir comme en Amérique une réserve?
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